O Centro Estudantal Campinense: práticas educacionais, culturais e políticas em Campina Grande-PB (1945-1964)

Abstract

RESUMÉ Cette étude vise à enquêter sur les actions des centristes à partir de leurs pratiques éducatives, culturelles et politiques dans les représentations des leaders étudiants dans l'espace de le Centro Estudantal Campinense (CEC), et la formation de la jeunesse de campinense basée sur des discours sur le fait d'être l'entité référée une école de formation extra-scolaire. Nous avons examiné les activités et les luttes des centristes dans la ville de Campina Grande-PB entre les années 1945 à 1964, appropriées comme lieu pour le développement de leurs pratiques: élections, confrontations et approches avec les politiciens et les organismes publics et privés, et les luttes pour la défense de l'éducation. À cette fin, nous avons analysé comme source et objet de recherche le journal Formação, le journal officiel de la CEC et d'autres journaux qui ont circulé dans la ville pendant cette période, qui ont apporté des informations sur les événements du mouvement étudiant campinense et qui ont été saisis par les centristes, à travers, principalement des colonnes des étudiants. Pour cela, nous utilisons des conceptions théoriques et méthodologiques de l'histoire orale (NORA, 1993; HALBWACHS, 1990; GAGNEBIN, 2009; BOSI, 1994); de l'histoire politique (SIRINELLI, 2003; HEINZ, 2006; GONTIJO, 2005; MOTTA, 2009) ; SIRINELLI, 2003; HEINZ, 2006; GONTIJO, 2005; MOTTA, 2009) ; et la méthode prosopographique (ALBUQUERQUE JÚNIOR, 2013; CHARLE, 2006) ; à travers des entretiens avec d'anciens centristes, des recherches bibliographiques et icnographiques (BURKE, 2004) journalistique (CAPELATO, 1988; ARAÚJO, 1986); et écrit par vous (GOMES, 2004). On en conclut qu'en problématisant les discussions des centristes sur les débats de défense des causes éducatives, ils s'insèrent dans une culture politique où les élites, les intellectuels engagés et les étudiants eux-mêmes créent des espaces sociabilité visant l'écriture et la lecture, comme les clubs littéraires, les journaux et les syndicats étudiants, avec des discussions problématiques et littéraires pour créer l'idée d'une ville politisée et en développement à travers les lettres. De cette façon, en plus de la création et de l'organisation du journal Formação en tant qu'agence de presse pour les actions centristes, la diffusion des principes et des idéologies et un espace pour les célébrations des anniversaires fondateurs de la CEC, il a également été transformé en un lieu de mémoire pour se souvenir et améliorer les noms de ceux qui ont participé en tant que monuments soumis. Pour que cela soit possible, la CEC était motivée à être un espace de formation intellectuelle et politique pour les jeunes, et elle a développé des luttes en faveur des étudiants et un pouvoir d'influence avec la société de campinense, par son engagement envers les problèmes que la ville a traversés. Enfin, les biographies de certains garçons-hommes qui ont eu des performances pertinentes à la CEC se sont démarquées, à travers les souvenirs qui ont été construits pour les centristes, dans les interviews et dans la presse, où les images des leaders étudiants qui ont favorisé leur ascension ont été faites dans la politique de Paraíba après sa formation dans cette entité étudiante, dans laquelle les discours ont élargi la perception d'un lieu de mémoire pour la constitution de dirigeants centristes à travers l'idée de la CEC comme une école de dirigeants.

RESUMEM Este estudio tiene como objetivo investigar el desempeño de los centristas a partir de sus prácticas educativas, culturales y políticas en las representaciones de líderes estudiantiles en el espacio de le Centro Estudantal Campinense – CEC –, y la formación de la juventud de campinenses en base a discursos sobre ser la entidad referida una escuela de entrenamiento extraescolar. Examinamos las actividades y luchas de los centristas en la ciudad de Campina Grande-PB entre los años 1945 a 1964, apropiadas como lugar para el desarrollo de sus prácticas: elecciones, confrontaciones y enfoques con políticos y organismos públicos y privados, y las luchas en defensa de la educación. Con este fin, analizamos como fuente y objeto de investigación el periódico de Formação, el diario oficial de la CEC y otros periódicos que circularon en la ciudad durante este período, que trajeron noticias sobre los eventos del movimiento estudiantil campinense y que fueron incautados por los centristas, a través de, principalmente de columnas de estudiantes. Para esto, utilizamos concepciones teóricas y metodológicas de la historia oral (NORA, 1993; HALBWACHS, 1990; GAGNEBIN, 2009; BOSI, 1994), de la historia política (SIRINELLI, 2003; HEINZ, 2006; GONTIJO, 2005; MOTTA, 2009 ); y el método prosopográfico (ALBUQUERQUE JÚNIOR, 2013; CHARLE, 2006); a través de entrevistas a ex-centristas, bibliográficos, icnográficos (BURKE, 2004), periodísticos (CAPELATO, 1988; ARAÚJO, 1986) y escritos por ellos mismos (GOMES, 2004). Se concluye que, al problematizar las discusiones de los centristas sobre los debates en defensa de las causas educativas, se insertaron en una cultura política en la que las élites, los intelectuales comprometidos y los propios estudiantes crearon espacios, la sociabilidad dirigida a la escritura y la lectura, como clubes literarios, periódicos y sindicatos de estudiantes, con debates problemáticos y literarios para crear la idea de una ciudad politizada y en desarrollo a través de las cartas. De esta manera, además de la creación y organización del periódico Formação como agencia de noticias para acciones centristas, difusión de principios e ideologías y espacio para las celebraciones de los cumpleaños fundacionales del CEC, también se transformó en un lugar de memoria para recordar y mejorar los nombres, de los que participaron como monumentos temáticos. Para que esto sea posible, el CEC fue motivado para ser un espacio de capacitación intelectual y política para la juventud, y desarrolló luchas a favor de los estudiantes y el poder de influencia con la sociedad de campinenses, a través del compromiso con los problemas que atravesó la ciudad. Finalmente, se resaltaron las biografías de algunos muchachos que tuvieron actuaciones relevantes en CEC, a través de los recuerdos que se construyeron para los centristas, en las entrevistas y en la prensa, donde se hicieron las imágenes de los líderes estudiantiles que propiciaron su ascensión en la política de Paraíba después de su formación en esa entidad estudiantil, en la cual los discursos ampliaron la percepción de un lugar de memoria para la constitución de líderes centristas a través de la idea de que el CEC fuera una escuela de líderes.